Voici le récit de mon après-midi (et de la journée suivante) où j’avais pour rôle d’aguicher les mecs de ma ville (Marseille dans le cas présent) mais je ne devais en aucun cas baiser, ce qui comme vous allez le comprendre, raté. J’avais pour consigne de la part de mon mettre de ne pas mettre de sous-vêtement et de faire le plus salope possible (ce qui n’est pas difficile vu mon caractère !!)

Donc tout a commencé peu après midi où mon maitre m’a ordonné de me masturbé ce que j’ai bien sûr fait avec mon plus grand plaisir 

 Après cette séance de plaisir, j’avais pour mission d’aguicher les mecs des quartiers mais je ne devais pas mettre de sous-vêtement, je me résolus donc à mettre une jolie petite robe qui m’arrivais à ras des fesses ainsi que des talons de 8 centimètres, je ma maquillais aussi comme une vrai pute et je n’avais pas de sous-vêtement.

Cette préparation faite je sortis dans les quartiers  qui étaient réputés comme chaud, et je ne mis pas longtemps à m’en apercevoir car dés que j’ai fait mes premiers pas dans ces quartiers que l’on commença à le siffler et à me relooker, je sentais leur regard qui me déshabillait, et pour les excités encore plus, je laissai tomber 2-3 fois mon sac pour qu’ils puissent admirer mon petit minou tout épilé.

Très vite quelques mecs vinrent me voir et n’hésitèrent pas à me peloté mais mon Maitre avait donné l’ordre de les laisser faire, ce que je fis sans aucun soucis, peut après je partis pour un autre quartier sous le regard déçus de ces messieurs qui s’imaginait surement faire beaucoup plus de choses avec moi.

Je partis donc dans un  autre quartier et recommença mon petit numéro mais cette fois ce n’est pas 1 ou 2 mecs qui vinrent mais une bonne dizaine et tout en me traitant de salope, de sale pute, de garce et de tout ce que vous voulez et c’est a ce moment là qu’ils m’embarquèrent dans un camion et je peux vous dire que je n’étais pas rassuré du tout, j’avais même très peur.

Ils me forcèrent un boire un truc puis je m’endormie. Je me réveillai quelques heures plus tard, je compris alors que je m’étais fait droguer puis je sentis une sensation bizarre au niveau de mon cul et de ma chatte et c’est quand j’ai vu le sperme coulé que je compris, je m’étais fait violée mais là ne fut pas la pire découverte comme je vous expliquerais plus tard.

 J’étais donc là attacher au milieu d’une pièce sur un lit, et j’attendis des heures avant de revoir quelqu’un puis mes bourreau revinrent, je ne sais pas combien ils étaient mais ils me bandèrent les mieux et recommencèrent leur viole contre moi, j’étais pénétré par tous les cotés, je me sentais humiliée, souillée.

Et encore une fois, ils me firent boire un truc et me rendormie mais je ne me réveillai pas aussitôt, lorsque je repris connaissance, je n’étais pas au même endroit que d’avant, j’étais dans une pièce tout blanche, encore attaché mais j’avais une douleur anormal à l’entre-jambe, j’en déduis donc que je m’étais fait violer (encore une fois) mais la vérité que j’appris fut bien pire.

Alors que je me réveillai doucement, je sentis une drôle de sensation envahit mon entrejambe, un nouveau viole ? Non j’étais toute seule, je me vidais littéralement, j’urinais et déféquais dans mon lit sans que je puisse m’arrêter ! Paniqué je criais mais personne ne vint, encore une fois, j’avais très peur car ça ne m’étais jamais arrivé, je me posais donc des questions, qu’est ce qu’il m’arrivait ? Puis je me mis à pleurer et je me rendormis, je me réveillai quelque temps après toujours dans la même pièce et toujours toute seule. Je criai et à ma grande surprise je vis 3 silhouettes s’approcher de moi.

Il y avait 2 hommes et une femme, je ne savais pas quoi faire ni quoi dire, j’étais toujours attaché à mon lit et après une longue observation je leur demandais pourquoi je suis là et qu’est ce qu’ils m’avaient fait.

C’est la femme qui m’expliqua tout et ce qu’elle me dit me glaça le sang : pendant que je dormais j’ai subit une opération et pendant cette opération, on m’a installé un dispositif qui m’élargir mon anus et comme ça ils peuvent me sodomiser dans faire d’effort et à sec, ils en ont aussi profité pour me violer mais ceci n’est malheureusement pas le pire puisqu’ils en ont aussi profité pour m’installer un dispositif dans mon vagin et dans mon anus et dans on l’actif me fait pisser et déféquer sans que je puisse résister. Dès qu’il appuie sur le bouton je me vide littéralement et malheureusement je ne peux rien y faire

Lorsque j’appris la nouvelle je me mis à pleurer toute les larmes de mon corps mais cela ne sembla pas les toucher et ils utilisèrent le 1^er dispositif pour écarter mon anus et ils me violèrent pour la énième fois depuis hier soir.

J’avais l’impression que tout ça n’étais pas réel, j’avais l’impression que tout ça n’existait pas mais la réalité me revint bien vite en pleine face lorsque l’un des 2 mecs me força à avaler  son sperme ce que je fis résigner car je ne savais pas comment sortir de là, j’étais résigner, je disais que c’étais la fin, qu’il n’y avait plus d’espoir, que je ne reverrais jamais ceux que j’aime. Puis on me drogua encore une fois et je me rendormie.

Encore une fois je me réveillai mais pas dans la même position que d’habitude ni au même endroit, j’étais assise et après quelque seconde je m’aperçu que j’étais en vitrine d’un magasin, nue et je ne pouvais pas bouger comme si mes muscles étaient tétanisés, j’étais donc nue en vitrine d’un magasin et je jouais au mannequin devant des passants qui semblaient se douter de rien, je resta donc comme ça quelque temps quand tout a coup l’un des mecs qui m’avait encerclé la veille me pris et me mis debout au milieu du magasin, j’étais dans un sex-shop et vu que je ne pouvais pas bouger, aucun client ne me remarqua, croyant que j’étais un mannequin de cire. Un client commenta même le gérant sur la qualité et la ressemblance des mannequins.

J’étais donc là au milieu de la pièce et attendait avec crainte ce qui allait se passer et ses craintes étaient justifiées puisque j’allais servir d’essais, je devais donc regarde les clients essayer des godes, des godes-ceintures, des boules de geisha et tout un plein de truc sur moi sans rien pouvoir faire car mes muscles étaient toujours tétanisé. L’après-midi me sembla donc une éternité et tous mes trous ont été souillés, pénétré sans que je ne puisse rien faire.

La fin d’après-midi se passa donc comme ceci et lorsque le magasin ferma, je repris petit à petit des sensations dans mes muscles et la tétanie disparue lentement, une fois en pleine possession de mes moyens, ma première idée fut de fuir mais que ferais-je seule, nue et ne sachant même pas où j’étais. Je me mis donc à pleurer et pour m’humilier encore plus, mes bourreaux me firent uriner debout au milieu de la salle, j’étais anéantie, au bout du rouleau et je me recroquevillai sur moi et ils en rajoutèrent une couche en me faisant déféquer et en me trainant au milieu de mes excréments tout en rigolant et en ce moquant de moi.

J’avais l’impression que pour moi c’était la fin, qu’il n’y avait plus d’espoir et je n’attendais plus qu’une chose : qu’on me libère pour que tout ça soit finie.

Mais mes bourreaux ne l’entendaient de la même oreille et après une douche rapide qu’ils me forcèrent a prendre à l’eau froide, m’emmena dans une chambre et m’enferma dedans avec pour consigne de mettre les vêtements présent dans l’armoire. A ce moment là je craquais une nouvelle fois et me remis à pleurer et eu même l’idée de me suicider pour mettre fin à ce calvaire.

Mais je repris espoir et décida de répondre à tout leurs ordres (je tiens à m’excuser d’avance auprès de mon Maitre pour avoir écouté un autre que lui) en espérant que tout se terminerai très vite. Je m’habillai donc avec les vêtements qui étaient sur le lit : une robe qui m’arrivait juste en bas des fesses (encore plus courte que celle que j’avais hier après-midi), des bottes qui montaient jusqu’au genou, une petite culotte et rien d’autre. Je me demandais pourquoi une petite culotte alors que j’aurais cru qu’ils ne m’auraient donnés aucun sous-vêtement mais j’aurais bientôt la réponse.

Mes kidnappeurs m’emmenèrent à l’arrière d’une voiture et nous sommes allé dans une boite où l’on m’ordonna d’attendre dans un coin, après cette attente qui me paru interminable, on m’emmena dans une salle ou je dû encore attendre mais pendant cette attente, j’eu un mauvais surprise puisque j’urinais et déféquait, j’avais donc de la merde dans ma petite culotte (je comprends donc son utilité) et de la pisse plein les bottes.

Après cet incident, 2 viennent dans la pièce et comme je l’ai vite deviné, ce n’étais pas pour parler mais bien pour baiser, je me suis donc appliquer pour que ça aille le plus vite possible mais ce que je n’avais pas prévu c’était qu’ils regardent ma culotte et dès qu’ils virent la merde, ils me la firent bouffer, j’étais au bord des larmes, prêt à vomir tellement c’était repoussant mais je l’ai avalé tant bien que mal puis ils me baisèrent.

Après m’avoir souillé, une fois de plus, je repris mes affaires et fila dans le club où j’aperçu un de mes bourreaux qui était en discussion avec une fille, je n’hésitai pas un seul instant et alla discrètement vers lui pour reprendre mon portable puis m’enfui de cette endroit en espérant ne plus jamais y retourner, et enfin je retrouvais la liberté et l’air libre. Il était environ 21h. Je reconnu de suite la ville où j’étais : Marseille, ma ville, je me hâtai donc de rentrer chez moi mais ce ne fût pas facile avec des bottes pleine d’urine mais je réussissais tant bien que mal à y retourner et m’empressa d’envoyer un message à mon Maitre pour le prévenir de ce qui m’étais arrivé et voir ce que l’on peut faire pour pas que ça recommence. Mais j’ai encore peur car ils peuvent encore déclencher ma vessie ou me faire déféquer à tout moment, maintenant je vis dans l’angoisse.

Malheureusement, les mauvaises ne s’arrêtent là puisque je viens d’apprendre que mon Maitre me laissait tomber sans aucune raison, donc je suis donc une chienne libre et errante à la recherche d’un Maitre.